NOUVEAUTÉS
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Le 2 novembre 1982, Júlio Guerra, pilote de l'armée de l'Air portugaise, a vu un objet lenticulaire métallique de 2 à 3 m de diamètre s'élever de quelque 1500 m
en une dizaine de secondes, puis tourner autour de son avion à une vitesse estimée à 2500 km/h, pendant que lui-même décrivait des cercles serrés.
À la suite d'échanges radio, deux autres pilotes à bord d'un deuxième avion sont arrivés, et ont confirmé l'observation de Guerra. Ce dernier, après presque une demi-heure
de ce manège, a tenté une interception, et l'objet a effectué une manœuvre d'évitement et a disparu à grande vitesse. L'armée portugaise a fait appel
à un groupe de scientifiques pour étudier ce cas, et ils ont conclu qu'il restait inexpliqué. Nous verrons pourtant qu'une explication prosaïque est extrêmement probable,
et s'accorde remarquablement aux témoignages des pilotes. Et nous étudierons ensuite un certain nombre d'autres observations relevant d'une explication similaire,
ainsi que deux autres cas impliquant des pilotes militaires portugais et étudiés par le même groupe d'ufologues scientifiques. Ce texte a été écrit en collaboration
avec Florent Michaud, qui a le premier proposé l'explication.
Le soir du 13 mars 1997 vers 20 h 30, la ville de Phœnix et une bonne partie du territoire de l'Arizona ont été survolés par une mystérieuse formation
de lumières, portée d'après beaucoup de témoins par un immense objet sombre en forme de boomerang ou de triangle ; et à 22 h, c'est une série de lumières fixes
qui sont apparues une à une au-dessus de la ville, alignées suivant une courbe, et se sont éteintes l'une après l'autre après quelques minutes. Ce deuxième événement
a été filmé par plusieurs témoins, et les vidéos très spectaculaires ont été largement diffusées. Plus personne ou presque ne doute maintenant qu'il s'agissait
de fusées éclairantes larguées au-dessus d'un terrain militaire, loin de la ville, mais cela n'explique pas l'événement de 20 h 30 qui reste pour
beaucoup d'ufologues un cas majeur de l'histoire de l'ufologie, connu sous le nom de Lumières de Phœnix. Pour les sceptiques, il s'agissait simplement
d'un vol d'avions militaires en formation, avec leurs feux d'atterrissage allumés. On va voir ce qu'il en est.
On a beaucoup parlé du ballon espion qui a survolé les États-Unis au début 2023, pour être finalement abattu. Mais il semble bien que la France ait
aussi été survolée, en particulier en 2020... Un mystérieux ballon qui avait survolé le Morbihan le 17 janvier trouve sans doute enfin son explication,
et ça pose quelques questions sur nos capacités de défense face à ce genre d'intrusions.
Le soir du 6 octobre 2010, deux témoins ont observé un ovni triangulaire au-dessus de la centrale nucléaire de Golfech, dans laquelle ils travaillaient,
et ont filmé ce «triangle» pendant une vingtaine de secondes. Le Geipan ayant conclu à l'observation probable d'un avion, le principal témoin et un
groupe d'enquêteurs ont crié au scandale, et cette affaire a divisé le milieu ufologique pendant des années... Faisons le point sur cette affaire et
tous ses rebondissements.
Mise à jour (19/08/2022)
Critique d'un article dans Ikaris, retour sur la tentative d'un inconnu de déréférencer cette page sur Google, et deux paragraphes ajoutés sur les
services de tracking d'avions et l'hypothèse d'un triplet de satellites NOSS.
Le 17 novembre 1986, au-dessus de l'Alaska, les trois membres de l'équipage du vol 1628 de la Japan Air Lines, un Boeing 747 cargo, ont
observé deux ovnis durant quelque trois quarts d'heure, et le radar de l'avion et plusieurs radars au sol ont reçu des échos non identifiés. Cette
observation est depuis considérée comme un des cas aéronautiques les plus convainquants. Mais tous les enquêteurs sont passés à côté d'une source de
confusion potentielle typique de cette région et qui pourrait expliquer la partie la plus étrange de l'observation.
Mise à jour (02/08/2022)
Le reportage dans Enquêtes Paranormales, comment le cas est devenu connu sous le nom « d'incident de Denali », deux autres observations peu
après dans la région.
La chaîne TV Numéro 23 a diffusé dans sa série « les Dossiers du surnaturel » un reportage sur la vague d'ovnis du 5 novembre 1990.
Ça n'est certes pas le premier et le cas date un peu, mais celui-là est vraiment spécial : pour la première fois à la télévision, on explique en
détail le phénomène de rentrée atmosphérique qui est à l'origine, au moins en grande partie, de cette déferlante d'observations. Avant cela, vous ne
pouviez guère trouver des informations correctes à ce sujet que sur un site internet dont les fanatiques de soucoupes volantes évitaient soigneusement
de parler (sans se priver toutefois d'y piquer les informations qui les intéressaient) : le nôtre ! Mieux, après 25 ans, le service
« officiel » d'étude des ovnis et à l'époque justement des rentrées atmosphériques, dépendant du prestigieux Cnes, reconnaît ses erreurs
passées, notamment sur la trajectoire du phénomène... Tout arrive ! Mais bien sûr, une place est laissée au doute et aux problèmes posés par
quelques observations anormales. Et puisque cette vague nous a beaucoup intéressés et que ce documentaire exceptionnel recoupe beaucoup de sujets que
nous avons abordés ici, nous l'avons commenté en détail, et complété...
Mise à jour (15/05/2021)
Décès de Pierre Neirinck, explication de la nouvelle erreur du Geipan sur la trajectoire, ajouts sur l'observation de Cyrille Tavenard.
Je délaisse un peu l'ufologie en ce moment parce que j'essaie de lutter contre la politique de terreur irraisonnée menée pour lutter contre l'épidémie
de covid-19... C'est ici que ça se passe, allez y faire un tour.
Le 16 août 1954, alors qu'une vague d'ovnis exceptionnelle n'allait pas tarder à s'abattre sur la France, c'est sa colonie d'alors Madagascar, et
sa capitale Tananarive, qui a été l'objet d'un phénomène exceptionnel : pas moins de 20 000 témoins auraient vu la ville survolée à basse
altitude par un engin immense ayant suivi une trajectoire complexe avec des virages prononcés... Les animaux s'affolaient à son passage, les lumières
s'éteignaient successivement à mesure que l'objet avançait... C'est ainsi que les livres d'ufologie qui se voudraient sérieux présentent ce cas extrême
d'observations en masse, en affirmant qu'aucune explication naturelle ne peut être avancée... Voyons ce qu'il en est réellement.
Mise à jour (01/04/2020)
Cette mise à jour fait suite à une discussion sur le site Ufo-scepticisme, et j'en ai profité ensuite pour aller plus loin dans la reconstitution d'une
trajectoire vraisemblable et la cohérence avec les orbites des astéroïdes les plus courants.
Thibaut Canuti, historien de formation et conservateur des bibliothèques, avait publié en 2011 une « Histoire de l'ufologie Française, le Temps des
soucoupistes » consacrée comme son nom l'indique aux premiers ufologues et aux temps héroïques des associations et bulletins. Ce second volume,
« le Temps des officiels », est consacré à la création et au fonctionnement du Geipan, et à l'étude des ovnis par des militaires et
scientifiques.
Il y a quelques années, la très sérieuse Association aéronautique et astronautique de France (3AF) et le pilote de ligne/ufologue Jean-Gabriel Greslé
présentaient une « note interne du S.G.D.N. » (Secrétariat Général de la Défense Nationale, devenu depuis S.G.D.S.N.), dans laquelle on
pouvait lire que trois sections de ce service étaient particulièrement impliquées dans le domaine des « oanis/ovnis », le premier terme
désignant les « objets aquatiques non identifiés », et qu'il existait même une « accréditation oanis/ovnis » ! Les sceptiques
ont vite montré que cette « note » n'en était pas une, mais certains ufologues persistent à en défendre l'authenticité, comme Christian
Comtesse, le patron des « repas ufologiques » où l'on a présenté cette information fantastique un peu partout en France...
Mise à jour (14/08/2019)
Les derniers développements de cette affaire, avec les explications de Jérôme Beau qui en est bien involontairement à l'origine, la découverte de Pierre
Renez sur l'origine du texte contesté, et les réponses de Christian Comtesse qui continue à nier l'évidence.
La fin de l'année 2014 a été marquée par la multiplication de survols de centrales nucléaires par des drones ou des « aéronefs assimilés »...
Toutes les centrales nucléaires françaises ont été concernées, plus quelques installations militaires sensibles... Des associations antinucléaires en
ont profité pour dénoncer le manque de sécurité des centrales, et réveiller les craintes d'attentats... Quant aux ufologues, beaucoup ont mis en doute
l'implication de drones disponibles dans le commerce, et ont pensé avoir affaire à une nouvelle vague d'ovnis. On ne connaît toujours pas les coupables.
Mise à jour (14/09/2018)
Nouveaux développements sur l'observation à Golfech, les réactions à ce texte, mes commentaires sur un texte de Christian Comtesse concernant la vague
de survols, l'affaire de Fessenheim, critique du chapitre du dernier livre de Thibaut Canuti, consacré en particulier à cette « vague », et
quelques considérations inspirées du jugement à l'encontre de deux amateurs de modélisme qui ont fait voler leur drone près d'une centrale.
Le 7 novembre 1990, un immense phénomène lumineux est resté pendant trois heures au-dessus du toit d'un hôtel de Montréal, d'où il a été observé à
loisir par des dizaines de personnes, y compris un certain nombre de policiers qui avaient été alertés, et a pu être photographié. Richard Haines,
ufologue bien connu et réputé, a expertisé cette photographie et en a conclu à la preuve d'un objet solide, large de plus de 500 m, à l'origine des
mystérieuses lumières. Le cas a depuis été considéré comme une des plus formidables observations collectives de l'histoire des ovnis. Plus tard, une
explication naturelle a été proposée, faisant appel à la réfexion de lumières sur une nappe de cristaux de glace. Le point sur cette observation et le
phénomène invoqué.
Mise à jour (31/12/2018)
Beaucoup de nouveaux développements sur cette affaire avec François Bourbeau, le Mufon-Québec et Christian Page, et la possibilité que les lumières de
la piscine ne soient pas en cause.
Voilà plus de vingt ans que la rentrée atmosphérique a traversé la France, et il y a toujours malgré toutes les informations disponibles bon nombre
d'ufologues qui soutiennent qu'une armada d'ovnis nous a survolés ce soir-là ! En 2001, la revue
Lumières dans la nuit avait publié dans ce
sens un dossier de « 33 exemples flagrants » censés prouver qu'il y avait eu autre chose que cette rentrée de fusée Proton... Examinons ces
« preuves » de près.
Mise à jour (30/06/2015)
Discussion des nouveaux cas considérés par Joël Mesnard comme des « exemples flagrants », portant leur nombre à 52 ; échanges avec le
témoin de Thugny-Trugny ; apports de l'émission de télévision « la Mystérieuse nuit des ovnis » ; nouvelles réactions.
Jean-Gabriel Greslé, ancien pilote de ligne et ufologue bien connu, dont l'observation de la rentrée atmosphérique du 5 novembre 1990 passe souvent
pour la meilleure preuve qu'il y a eu ce soir-là d'authentiques ovnis, n'en était pas à sa première méprise. Le 27 juillet 1984, il avait déjà pris
une rentrée atmosphérique pour un ovni, tout comme un autre pilote en vol. Le point sur cette rentrée au-dessus des États-Unis, qui a eu aussi de
nombreux témoins au sol.
Dans les années 80, on a beaucoup parlé des détecteurs fabriqués par Alexandre Laugier... Mais ce dernier n'a jamais révélé ce qu'il détectait, le
désignant sous le nom mystérieux « d'effet alpha »...
Depuis 2007, le Geipan met en ligne les procès-verbaux de gendarmerie relatifs aux observations d'ovnis (ou PAN), et notamment ceux de la
« vague » du 5 novembre 1990. La plupart ne sont guère exploitables du fait que toutes les informations géographiques sont effacées...
Les rapports les plus intéressants sont sûrement ceux qui concernent plusieurs témoins : le record concerne l'observation par un peloton de 32
élèves officiers de gendarmerie, dont le commandant leur a demandé de rapporter leur observation par écrit. L'étude de ces 32 témoignages d'un même
phénomène vu dans les mêmes circonstances permet de se faire une idée de la fiabilité des témoignages concernant les différents détails d'une
observation. De quoi faire réfléchir les ufologues qui s'appuient sur la variabilité des témoignages pour affirmer qu'un grand nombre d'objets
différents a été vu ce soir-là.
L'idée qu'un train de ballons Mogul et ses cibles radar explique le « crash » de Roswell repose sur des arguments forts, mais il paraît
impossible que les témoins ayant vu et touché les débris aient pu prendre du balsa et du papier métallisé pour des bâtons impossibles à casser et des
feuilles de métal impossibles à froisser ou à déchirer... Mais est-il sûr que les cibles radar étaient faites de balsa et de papier métallisé ?
Bien des mystères s'éclaircissent pour peu que l'on accepte de remettre en cause ce qui passe pour des certitudes établies !
En attendant un fichier d'observations par département, les archives en ligne sont inaugurées avec un dossier de plus de cent coupures de presse sur cet
événement qui suscite encore bien des débats... Et également un dossier moins important sur l'événement similaire du 31 mars 1993.
Le
Journal de l'ufologie a mis en ligne récemment une interview très attendue de Jean-Jacques Velasco, dans laquelle le chef du SEPRA est censé
répondre enfin à mes accusations d'incompétence, et donne son sentiment sur le procès qu'il m'a intenté. Étant donné qu'il me met gravement en cause,
ainsi que tous ceux qui m'ont soutenu, je me devais de rétablir la vérité... Ainsi, chacun pourra vérifier sur pièces de quel côté elle se trouve.
Depuis le début des années 90, on parle beaucoup de la menace des astéroïdes. Ce que l'on sait moins, c'est que ce sont les militaires américains, avec
à leur tête Edward Teller, père de la bombe H, qui poussent à cette recherche des astéroïdes dangereux et à l'étude des moyens de les dévier.
N'auraient-ils pas derrière la tête des idées pas vraiment pacifistes ? Les astéroïdes pourraient bien constituer l'arme ultime pour dominer la
planète, et elle est peut-être déjà prête à être utilisée... Cela peut aussi relancer le débat sur l'impact de la comète SL9 sur Jupiter, venu fort à
propos appuyer les « craintes » des militaires concernant les astéroïdes.
Le chef du Sepra, « monsieur Ovni » officiel depuis plus de vingt ans, n'a maintenant plus aucun doute : les ovnis sont des véhicules
extraterrestres, et nous sommes surveillés en raison de nos essais atomiques ! Et il affirme en apporter les preuves scientifiques, par une étude
statistique à la hauteur de sa réputation... Accrochez-vous !
Une rentrée qui marque le grand retour du SEPRA dans ce domaine.
Ou comment je dois me battre contre un adversaire imprévu : mon avocat ! C'est maintenant la Cour de cassation que le SEPRA plonge dans la
quatrième dimension !
Tout s'est donc passé comme annoncé : la plus haute juridiction française a confirmé un jugement totalement contraire à la loi parce que l'avocat
censé me défendre a volontairement occulté les preuves de cette illégalité pour invoquer à la place des motifs fallacieux et indéfendables. Pour la
deuxième fois, M. Velasco gagne un procès grâce à l'avocat de son adversaire... Mais ne dites pas que vous trouvez ça louche, ça serait de la
diffamation ; il ne peut s'agir que d'une malheureuse coïncidence.
Les météorites retrouvées se multiplient, mais le lieu de ces découvertes est toujours tenu secret... Essayons-donc de l'estimer nous-mêmes, en tenant
compte cette fois du frottement atmosphérique pour préciser la trajectoire...
Cette affaire de météore changera-t-elle les rapports entre l'astronomie et l'ufologie ?
À la suite de la confirmation de ma condamnation en Cassation et des saisies répétées effectuées par mon adversaire, Jean-Pierre Petit a proposé une
opération d'aide financière pour payer cette condamnation que je ne suis pas le seul à trouver injuste... Les réactions ont été très rapides, et j'ai
décidé d'accepter en souhaitant que ça ne soit qu'une solution provisoire...
Quand le CNES demande un audit sur un de ses services... Et oublie les règles les plus élémentaires de déontologie scientifique.
M. Velasco continue à montrer son vrai visage
Sans attendre la décision de la Cour de cassation qui sera rendue le 10 mars, le chef du SEPRA n'a pas hésité à effectuer une nouvelle saisie de
mon compte bancaire, le 11 février... En pure perte puisqu'il sait bien que je n'ai pas d'autre revenu que le RMI et que ça n'est pas avec ça que
j'aurais pu beaucoup m'enrichir en cinq mois (depuis qu'il a déjà vidé mon compte)... Mais il sait que ça va me coûter des frais bancaires et me causer
pas mal de tracas en bloquant mon compte pendant un mois, alors il n'a rien trouvé de mieux comme représailles au texte du 3 février dans lequel
j'ai montré qu'il s'était manifestement assuré le concours de mon propre avocat pour truquer la procédure de cassation. Il est vrai que dans ces
conditions il peut être assez confiant dans le résultat, mais il pourrait tout de même l'attendre. Si certains se faisaient encore des illusions sur la
moralité du personnage, voilà qui devrait les éclairer. Mais s'il croit pouvoir me faire taire par ce genre de harcèlement, il se trompe...
Le dimanche 4 janvier peu avant le coucher du Soleil, des milliers d'Espagnols et sans doute quelques Français ont assisté au passage d'un météore
exceptionnel. Des météorites sont activement recherchées depuis, et les premiers résultats arrivent... Outre un résumé de cette affaire et de ses
derniers développements, cet article s'attache à expliquer les lois de la mécanique orbitale, en montrant comment on peut tenter de reconstituer
l'orbite de l'astéroïde responsable à partir d'une courte séquence vidéo... Une partie tout de même réservée aux matheux !
Un article de journal avait mentionné trois témoignages en France, avec les déclarations de notre « expert » national... Rien d'intéressant de
la part de l'expert, mais les témoignages apportent des éléments intéressants... Et pour les amateurs d'orbites, une nouvelle feuille de calcul permet
de connaître la trajectoire depuis une position quelconque.
Malgré les pressions pour le faire annuler, ce meeting a bien eu lieu et était passionnant, avec des personnalités comme Halton Arp, l'astronome
collectionneur d'anomalies cosmiques qui mettent en question le big-bang, Jacques Benveniste, l'homme de la « mémoire de l'eau », Lucy Pringle
la photographe des
crop circles, et bien d'autres...
Ce phénomène observé depuis un avion par les principaux responsables de l'aviation civile et militaire chiliennes a fait beaucoup de bruit dans ce pays,
et a été relaté chez nous dans un numéro spécial de
VSD. Il s'explique par une « rentrée partielle », très particulière, d'un
satellite Molniya.
Compte-rendu d'une petite incursion en Angleterre, et discussion sur un phénomène toujours aussi présent et intriguant...
La sortie du film
Signes a provoqué une avalanche de livres en français sur le phénomène :
Un véritable guide touristique de la planète Mars, tout à la fois document de référence et invitation au rêve...
Retour ufologique du fondateur du GEPAN avec une théorie de la gravitation originale expliquant la propulsion des ovnis et le voyage interstellaire...
Mais tout ça est-il bien sérieux ?
Dans son numéro hors-série spécial OVNI de novembre 2003,
VSD publie la photo d'un procès-verbal de gendarmerie concernant une observation du
5 novembre 1990. Il s'agit d'une des observations les plus intéressants de cette soirée, faite à Gretz-Armainvilliers par le pilote de ligne
Jean-Gabriel Greslé en compagnie de six autres témoins. Avec un peu de persévérance, on parvient à lire le texte, l'audition justement de
M. Greslé... Le voici donc en intégralité.
Comment, lorsque le Parquet s'associe frauduleusement à l'accusation pour tromper le juge, on obtient un jugement violant de façon flagrante des textes
de loi pourtant très clairs et largement commentés.
Le Service d'expertise des phénomènes de rentrées atmosphériques devient le Service d'étude (ou d'expertise) des phénomènes rares atmosphériques (ou
aérospatiaux).
... Une liste se voulant exhaustive de toutes les déclarations publiques du chef du SEPRA en matière de rentrées atmosphériques, avec la mise en
évidence de toutes les erreurs (même en cherchant bien, on ne trouve rien d'autre)... C'est donc très long ! Une longue série d'inepties sans cesse
répétées pendant des années, et pratiquement aucune information correcte ! Il s'agissait pourtant bien du Service d'expertise des phénomènes de
rentrées atmosphériques, appartenant au prestigieux CNES ! Toutes les preuves que M. Velasco était (et reste) une nullité absolue (au sens
littéral du terme : dépourvu du moindre soupçon de connaissance) dans le domaine des rentrées atmosphériques, dont il se présentait comme expert au
plus haut niveau (il a semble-t-il cessé, sans pour autant renier ses « expertises » passées).
Ufologie et post-ufologie
(Jean-Louis Peyraut janvier 1992, mis en ligne le 16/07/2003)
Les pionniers de l'astronautique ont été complètement dépossédés de leur création... Les ufologues subiront-ils le même sort ? Ces craintes de
Jean-Louis Peyraut, formulées il y a plus de dix ans, semblent hélas se confirmer de jour en jour...
Comment des parlementaires, impressionnés par l'excellence de l'expertise du SEPRA lors de la rentrée atmosphérique du 5 novembre 1990, ont voulu
donner à ce service que le monde entier nous envie une dimension européenne... On l'a échappé belle !
Inspirées par les révélations de Jean-Pierre Petit sur le bombardier furtif américain, quelques idées nouvelles à discuter.
Un article de la revue AW & ST du 9 mars 1992 révélait que des champs électriques à haute tension étaient utilisés sur les bords d'attaque des ailes
et les sorties de réacteurs du B-2. L'article intégral avec sa traduction, et quelques commentaires sur ces révélations qui concernaient d'autres
technologies des « black programs ».
Peut-on observer des rentrées de satellites ou des météores pendant plusieurs minutes ? Quelle peut être la durée maximale d'un tel
phénomène ? On trouve trop souvent des affirmations aussi arbitraires qu'erronées à ce sujet dans la littérature ufologique, alors que les réponses
correctes relèvent de calculs élémentaires.
Le SEPRA n'est pas le seul à avoir commis des erreurs sur cette rentrée qui continue à déchaîner les passions, même s'il domine très largement ! Le
télex communiqué par la NASA contenait deux erreurs ayant, dans une faible mesure, contribué à la confusion. Certains ufologues persistant à nier
l'évidence, il apparaît nécessaire d'apporter des réponses totalement inattaquables.
L'article intégral paru en 1997 dans la revue
Univers OVNI n°2, à l'origine de cette plainte pour... euh, on ne sait pas trop, assorti de
nouveaux commentaires... Indépendamment du procès, ça reste un document indispensable pour comprendre ce qui s'est passé le 5 novembre 1990.
Très en vogue peu après la guerre, les projets d'avions à propulsion nucléaire ont été rapidement abandonnés, d'une part en raison des risques de
contamination en cas d'accident, et d'autre part du fait de la masse des enceintes protégeant l'équipage des radiations. Mais de telles protections ne
sont pas indispensables pour des appareils automatiques, et il est vraisemblable que les militaires américains aient continué dans cette voie en secret,
tout comme pour la propulsion MHD qui se marie très bien avec l'énergie nucléaire.
L'objet responsable, un troisième étage de fusée Proton ayant lancé un satellite géostationnaire, est identique à celui qui avait causé la trop fameuse
« vague d'ovnis » du 5 novembre 1990 en France.
Le dernier livre de Jean-Pierre Petit : fantastiques révélations ou délire technologique ? Sans doute un peu des deux. Jugez par vous-même...
Dans son dernier livre, Jean-Pierre Petit révèle le fonctionnement de l'avion-espion Aurora, dont il aurait eu confirmation par un de ses concepteurs,
rencontré lors d'un colloque sur la propulsion avancée. Il écrit aussi que cet avion est satellisable... Cette dernière information est-elle
crédible ?
Pour que le chef du SEPRA ne puisse pas répondre à mes accusations d'incompétence par un simple argument d'autorité, jugez sur pièces de mes
arguments... Et si vous n'êtes pas un scientifique, cet article résume bien les douze années « d'expertises » du SEPRA en matière de rentrées
atmosphériques, et la somme monumentale d'erreurs commises à l'occasion de la rentrée du 5 novembre 1990 !
Un texte fondamental et magnifiquement illustré sur l'évolution de la pensée humaine.
Cette fois, c'est vraiment la guerre !
Ou comment faire condamner quelqu'un sous une autre loi et pour d'autres motifs que ceux par lesquels il était accusé, sans que rien de tout cela n'ait
été évoqué avant la clôture !
Pour tout savoir sur la façon dont on calcule à tout moment la position d'un satellite, et le codage utilisé par le NORAD (TLE).
La Genèse revue aux lumières de la science... Texte repris et augmenté du numéro 2 de la revue
Univers OVNI.
Ou comment faire un procès sans que l'accusé y soit invité !
En 1986, la NASA annonçait à grand bruit son programme d'avion spatial, mais l'abandonnait en 1993... pour le relancer en 1997 ! La MHD aurait-elle
quelque chose à voir dans cet étrange revirement ?
Puisqu'il n'y a plus personne pour s'occuper de la nécessaire information du public dans le domaine des rentrées atmosphériques, nous nous proposons de
jouer ce rôle.
Apprenez en quelques minutes à faire ce que l'expert du CNES en rentrées atmosphériques n'a jamais su faire !
Les questions gênantes auxquelles le chef du SEPRA refuse toujours de répondre ! Merci à Jean-Pierre Petit d'avoir « hébergé » cette
lettre sur
son site avant l'ouverture de celui-ci.
Avant d'être ce site Internet,
Univers OVNI était la revue de l'association I.N.H. Évidence. Deux numéros seulement sont
parus (le premier sous l'égide d'une autre association, le CERPA), en raison d'un manque de rentabilité. Ces revues sont toujours disponibles ici.
Je souhaitais qu'il devienne un site d'information général sur les ovnis et l'espace, mais l'association n'ayant jamais vraiment fonctionné,
Univers OVNI est devenu mon site personnel (il y a un seul article qui n'est pas de moi,
Ufologie et
post-ufologie du regretté Jean-Louis Peyraut).
Si un certain nombre de rubriques sont consacrées à l'espace et aux rentrées atmosphériques, ça ne signifie pas que je pense que les ovnis soient
nécessairement liés soit à des explications de nature astronomique, soit à des visites d'extraterrestres... Simplement, ce sont des domaines qui
m'intéressent aussi (comme l'indique l'appellation du site), et j'ai constaté que la plupart des ufologues les connaissent fort mal.
L'association
I.N.H. Évidence avait pour objectif l'étude et l'information sur les phénomènes suggérant une manifestation
d'Intelligences Non Humaines. Cette dernière dénomination me semble préférable à celle « d'extraterrestres » ou autres équivalents trop
restrictifs : l'hypothèse extraterrestre concernant les ovnis, si elle reste la plus connue du public, est en effet contestée par un nombre
croissant d'ufologues ; même si elle garde l'avantage de ne pas supposer l'existence de formes d'intelligences franchement « exotiques »,
les nombreuses idées alternatives ne peuvent pas être écartées, y compris l'absence de tout mystère... Il est nécessaire d'étudier objectivement les
témoignages, mais c'est tout de même l'idée qu'il y ait une intelligence derrière ce phénomène, quelle qu'elle soit, qui nous intéresse.
Et les ovnis ne sont pas forcément la seule manifestation de cette intelligence, ce qui nous incite à ne pas restreindre notre recherche à ce seul
domaine.
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